category: essay
Un dragon, une licorne, .... viennent chez les enfants chaque soir les emenent pour une aventure ou leur generosite leur fait decouvrir.
Apres avoir decouvert le pays de l'amour ils decouvrent des problemes
Ils decouvrent qu'ils peuvent aider a resoudre des problemes de plus en plus grands
Semaine 4: 2021-12-20 - 2021-12-24
Conclusion
Car j'ai eu faim et vous m'avez donné à manger; --12.01
Par un soir d'hiver, alors que les enfants allaient bientôt devoir aller se coucher ils entendirent entre les hurlements du vent de la tempête de neige un bruit sourd a la porte de la maison. Était-ce papa qui rentrait du travail? Était-ce maman qui venait de fermer le poulailler ou bien leur grand frère qui venait de couper du bois pour la cheminée? Non cela ne pouvait l’être. Tout le monde avait manger a table ce soir et même si avec le froid dehors le bois brûlait vite il restait un énorme tas de bois a cote de l’âtre de la cheminée. Mais étrangement seul les plus petits semblaient entendre les grattements et les grondements venant de la porte. Prenant son courage a deux mains il alla voir par l’ornière et vit comme un petit aigle a quatre pattes devant la porte. Mais a peine avait-il jeté un œil que cet aigle a quatre pattes disparu pour réapparaître sur son épaule.
Seximmus, ce grand garçon n'avait pas encore aperçu le petit animal sur son épaule que ces deux sœurs se mirent a hurler : "un dragon, vite court!!!!". Mais a peine avèrent-elles commencer de hurler qu'il sentit de puissantes griffes se planter dans son épaule et il se mit a hurler lui aussi de douleur. Quand les grands entendirent ce bruit ils regardèrent les petits et virent tout a coup un petit animal grand comme un poussin sur l’épaule de leur petit frère mais qui grandissait a vue d’œil... Ils se ruèrent sur leur frère pour le protéger mais ne réussirent qu'a renverser les restes de soupes des assiettes sur la table et par terre. Devant le chaos que sa présence avait créé on put entendre dans toute la maison des pleurs raisonner et tous entendirent dans leur tête les même mots résonner:
"S'il vous plaît n'ayez pas peur de moi, j'ai juste besoin d'un peu de chaleur pour récupérer de mon long voyage"
Amadoué par ses grands yeux bleus et une crinière qui faisait que le petit animal ressemblait beaucoup a la reine des neiges, les petits enfants demandèrent s'il pouvait rester pour la nuit prêt de la cheminée. Les grands, comme le papa et la maman trouvèrent que les petits lisaient vraiment trop d'histoire, mais finirent pas accepter. La nuit passa, comme une nuit d'hiver glacial. Les fenêtres se recouvraient de glace dès qu'elles étaient nettoyés, les lits étaient froids même une fois couche dedans et dehors le vent hurlait et les arbres gémissaient comme si le froid était insupportable pour eux aussi.
Après une des nuit les plus longues de l’année ou presque personne ne put dormir a cause des grincements de la maison et des bruits étranges venant de dehors, la tempête finit par se calmer avec le lever du soleil. Le feu, alimenté par une vis qui lui apportait du bois en permanence, gardait le cœur de la maison au chaud sans imposer a quiconque de se lever et permit donc a tout le monde de finalement s'endormir. Lorsqu'au milieu de l’après midi la maisonnée finit par se réveiller, il découvrirent non un petit animal de la taille d'une souris vautrée a cote de l’âtre de la cheminée mais un animal fantasmagorique de la taille d'un énorme ours polaire. Non seulement il était énorme, mais il avait développé une crinière qui semblait résonner avec les flammes du feu de la cheminée, une queue pointue. Lorsqu'il s’avancèrent vers la cuisine, il se retourna et il virent dans sa gueule d’énormes dents encore plus pointue que celles d’un lion et une étrange fumée qui sortait de sa gueule...
cette vue effrayante, les petits comme les grands hurlèrent de frayeur ce qui réveilla la bête. Se réveillant en sursaut elle émit un jet de flammes des ses narines. Mais a peine avait-il ouvert les yeux qu'il vit la frayeur des sept enfants, et inspirant profondément il avala ces flammes en un instant avant qu'elles n'aient pu vraiment brûler quoi que ce soit. Tout au plus avaient-elle eu le temps de faire fondre la cire des bougies sur la table.
Alors que les enfants hurlaient encore, la bête dit d'une énorme voix caverneuse qui fit vibrer les murs et manqua de peu de casser les fenêtres.
- N'ayez pas peur, je ne vous veux pas de mal. Vous m'avez recueilli alors que j'avais froid et faim et m'avait donne le couvert. Je vous en serai a jamais reconnaissant. Maintenant que j'ai pu me recharge de la chaleur de votre feu et de celle de vos cœur je peux repartir pour ma quête. Au revoir belle famille.
Puis sans le moindre vent, il disparu dans un petit nuage de fumée laissant le salon comme il était à l'avant veille.
Les enfants coururent voir leurs parents pour leur raconter l'histoire et les réveillèrent en hurlant plus forts les uns que les autres pour essayer de raconter ce qui s’était passer dans le salon. Quand les parents furent non seulement réveillé mais aussi eurent récupéré du choc de se faire réveiller si brusquement, ils finirent par conclure que tout était bien qui finissait bien et qu'il était temps de se remettre aux travaux quotidien comme de couper du bois, aller chercher de l'eau au puits et de faire une omelette pour nourrir toute la famille affamée.
Le soir même, alors que la famille semblait avoir oublie les aventures du réveil, un sommeil de plomb s'abattait sur les yeux de tout le monde. Trop fatigue pour aller au lit et profitant d'un peu de répit dans le froid hivernal, tout le monde s'assoupissait dans le salon devant le foyer de la cheminée. Quand tout d'un coup un bruit sourd retentit a nouveau a la porte de la maison. D'abord ignoré, ce bruit sourd retentit une deuxième puis une troisième fois finissant par réveiller tout le monde. Au même moment le vent glacial, venant du pole nord, semblait s’être relevé et la température baissait dans le salon avec la même vitesse que le bruit à l’extérieur augmentait à chaque seconde. Interloqué tout le monde se regardait quand enfin, la porte frémit non plus une fois mais trois fois d’affilé. Primo, l'aine des enfants dont une des responsabilités était de s'assurer que chaque soir la porte de la maison était bien fermée, alla voir. Tout d'abord il ne vit rien, puis il finit par voir une petite souris, mais qui marchait sur ses deux pattes arrière et se tenait sur un petit bout de bois, comme si une grand-mère pouvait être de la taille d'une souris.
Aasourdi en sans vraiment réfléchir il ouvrit la porte et la petite souris rentra plus vite que son attitude frêle n'aurait pu le laisser penser possible. A peine rentrée elle repoussa la porte avant que Primo des enfants n'ai eu le temps de le faire, verrouilla la porte puis dit d'une voix nasillarde.
- Bien le merci a vous de me laisser rentrer, on dirait que Njörd (le dieux de la mer et des vents dans la mythologie nordique) s'est enrhumé et que ses quinte de toux arrive jusqu’à nous.
- J'ai senti l'odeur de d'un Imoogi en me promenant dans votre voisinage et donc j'ai préféré passer la nuit ici si cela ne vous ennuie pas trop? La famille qui se remettait a peine de la surprise d'avoir vu un dragon dans leur salon le matin même, fut trop surprise de voir une souris parler pour faire le moindre commentaire et hocha de la tête. Si ce n'eut été pour Septima, la petite dernière, tout le monde serait aller se coucher sans mot dire. Mais celle-ci, habituée qu'elle était a toujours avoir le dernier mot, lui demanda
- Tu as du avoir bien froid dehors, ton pelage n'est pas très épais. Voudrais-tu manger un peu de soupe pour te réchauffer. La souris, se tourna vers cette petite qui ne devait pas être plus que trois fois plus grand qu'elle et répondit d'une voix saupoudrée d'une touche de surprise
- C'est très aimable à toi. Ça serait avec grand plaisir que je me joindrai a votre table. Une fois que le dîner fut finis pour une deuxième fois, tout le monde alla au lit et le tapis devant la cheminée fut pour une deuxième nuit d’affilée occupée par une hôte impromptu.
Le endemain matin, alors que le soleil n’était pas encore levé tout le monde se leva pour voir si la souris c’était transforme. Mais celle-ci s’était enroulée dans une couverture et semblait dormir d'un sommeil de plomb.
La journée se déroula sans incident, interrompu seulement par moment par un enfant ou un autre qui allait voir si la souris c’était réveillée. Mais celle-ci dormait d'un sommeil profond que rien ne semblait pouvoir interrompre.
Le soir venu, tout le monde se réunit autour de la cheminée se demandant si un autre animal fantasmagorique allait frapper a la porte, mais finalement tout le monde alla se coucher sans que rien d'extraordinaire ne se soit passer. La souris qui avait tant parle la veille a table, quant a elle dormait toujours dans sa couverture. Et la encore la plus petite surpris tout le monde en mettant de cote un peu du lait de son dîner et un quignon de pain et alla le placer a cote de la petite souris en disant
- Elle aura peut-être faim pendant la nuit...
De fait au petit matin, le bol était vide et du quignon il ne restait que des miettes sur la table. Mais de la petite souris il n'y avait aucune trace. Les 3 plus petits se mirent a crier que la petite souris était venue et repartie et devait vérifier sous leurs oreillers si une pièce avait été glissée.
Mais il n'en était rien! Déçus, ils revirent s’asseoir a table pour manger leur petit déjeuner, quand entendant du bruit venant de la cave ils tournèrent la tête. En un battement d’œil le vacarme habituel dans la cuisine s’était estompé. On aurait pu entendre une mouche voler. Tous entendaient leur cœur battre tant le silence était intense. Une licorne venait de passer la porte. Après une dizaine de battement de cœur sans bouger, ils entendirent tous dans leur tête une voix leur dire.
Merci a vous charmante petite famille, j'avais faim et froid et vous m'avez accueilli, il est temps pour moi de continuer mon voyage mais je vous porterai toujours dans mon cœur.
Au même moment tous réalisèrent que la licorne portait le même pull dans le quel la petite souris s’était endormie deux nuit auparavant, mais avant qu'ils ne puissent dire un mot la licorne disparaissait dans un halo lumineux ressemblant a un arc en ciel!
Le reste du petit dejeuner se passa dans silence relatif. Devant l'abatement des enfants leurs parents deciderent de profiter de l'acalmie de la tempete pour sortir toute la famille et aller se promener dans la foret. Celle-ci semblait completement differente maintenant que la neige avait tout recouvert et que les cristaux de givre creaient des formes totalement differentes. L'arbre prefere des enfants pour grimper, se cacher et se balancer etait completement differents.
Au fur et a mesure que la famille s'enfoncait dans la foret a la recherche des sources chaudes pour un bain d'hiver la foret semblait changer a chaque pas. Apres dix minutes de marche les parents s'arreterent, se regarderent puis dirent a voix en meme temps:
Je ne reconnais pas la foret, sommes nous perdus?
Mais au meme moment, seximus, le petit garcon dit a voix haute:
Regardez de la fumee, la-bas nous sommes aux sources chaudes.
Cependant pere, mere, comme Secunda, Tertia et Quarta savaient bien que les sources chaudes coulaient d'une petite colline avant de former une crique et non un petit geyser au milieu d'un etang. Aussi la presence de fleurs ouvertes et odorantes autour de l'etang etaient intriguante. Primo, l'aine et toujours le plus inquiet passa en arriere garde de la petite troupe et sortit sa hache de sa ceinture.
Alors qu'ils s'approchaient de l'etang ils commencerent a entendre des bruits de jeux et de franche rigolade. Comment quiconque aurait pu non seulement venir de la ville la plus lointaine en plein hiver mais aussi arriver si tot le matin apres une si terrible tempete?
Alors qu'ils cheminaient le long d'un chemin qui semblait taille dans la roche, tel un canion les bruit devenaient de plus en plus fort. Puis lorsqu'ils contournerent le dernier rocher ils virent l'etang, les fumees chaudes s'en degageant et un groupe d'enfant jouant ensemble. D'abord interloques a la vue de la famille, ils sortirent de l'eau en courant et disparurent dans les buissons laissant deriere eux un enfant seul et effare: il ne retrouvait plus ses vetements.
Secunda s'approcha de lui, enleva son manteau et lui tendit. Bien que l'air chaud autour de la source les protege tous de l'hiver on put voir sur son visage un grand soulagemetn. Il prit le manteau et sans que l'on comprenne il disparut comme si les rochers avoisonant l'avaient absorbe.
Perplexe, la famille ne sut ni que faire ni quoi dire. Secunda habituee a donner des ordres a tout le monde, eleva la voix et dit a plein poumons
Revenez ici, nous pourrions tous jouer ensemble, l'etang est bien assez grand pour tous et l'hiver bien assez froid quand on s'eloigne de l'etang pour ne pas le partager. Mais seul l'echo de ses paroles lui revint aux oreille.
Apres quelques minutes supplementaires de stupefactions, ils se mirent tous a l'eau et commencerent a jouer ensemble dans cette eau si chaude qu'on en oubliait l'hiver. Ils jouerent ensemble pendant des heures comme ils l'avaient rarement fait depuis que les grands avaient commence a aller en ville pour apprendre ce qu'ils ne pouvaient apprendre a la maison.
Puis vint le moment de sortir la viande sechee des panier pour le repas. La chaleur autour du lac etait telle qu'ils n'eurent pas besoin de se secher pour manger et purent repousser le moment de se rabiller. Mais a peine s'etaient-ils assis qu'ils apercurent a portee de main, la ou le petit enfant avait disparut dans la roche des baies bien mures et en quantite telles qu'ils se demenderent tous comment ils avaient pu ne pas le voir avant.
Le repas copieux qui avaient prevus par les parents pour changer les idees resta en grande partie dans les paniers car la famille fut pratiquement rassasiee rien qu'en mangeant ces murs, ces mirtilles, ces framboises et ces fraises qu'ils n'avaient pas vu quelques heures au paravent.
S'ils s'etaient moins goinfre des ces fruits d'ete, si rare en hiver, ils auraient pu penser que cet enfant qui avait disparu comme par magie semblait les remercier pour leur geste d'amour.
Quand leurs petites bedaines n'en pouvaient plus ils commencerent a se rabiller. C'est alors que Quatra entendit un son etrange, et comme a son habitude alla voir ce qu'il en etait curieuse qu'elle etait et bien heureuse d'avoir une excuse pour retarder son aide a ranger les affaires de la famille avant le retour a la maison.
Alors qu'elle s'avancait dans les buissons elle remarqua que la ligne de demarquation de la vegetation verte et de la neige sembalit s'etre raproche du lac mais n'y pretta pas grande attention intriguee et inquiete qu'elle etait d'entendre des bruits qui resemblait de plus en plus a des pleurs. Alors que la neige semblait maintenant a quelques pas d'elle, meme si elle n'en sentait pas encore le froid, elle finit par voir dans un arbre un filet et a l'interieur un jeune enfant qui ressemblait beaucoup a ceux qui avaient disparus a leur arrivee pres du lac.
Inquiete que cet enfant puisse se blesser si le filet lachait, elle courut prevenir sa famille de sa decouverte. En un instant, ils avaient cesse leurs preparatifs et etaient venu avec elle pour lui preter main forte.
A son retour, il lui fallu quelques temps pour retrouver l'enfant qui entre temps, probablement d'epuisement ou par peur de voire la famille au complet, avait arrete de faire du bruit. Il faut dire qu'en quelques minutes seulement la frontiere entre la neige et la vegetation luxuriante autour du lac avait avance d'une dizine de metre et l'enfant comme son filet etait maintenant recouvert de neige.
En passant la frontiere, ils se mirent tous a grelotter instantanement mais ne reculerent pas en voyant les levres bleues du petit enfant et ses membres qui ne sembaient plus bouger.
Quarta n'ecoutant que son courage cette fois s'elanca pour attraper les premieres branches de l'arbre et commenca a grimper a l'arbre pour defaire le noeud qui tenait le filet. L'enfant se reveilla et les voyant si proche et devinant leurs intentions se mit a hurler:
"Fuyez avant que l'hiver soit completememnt installe, il m'a attrape et je ne m'en sortirai surement pas mas vous etes encore libre, fuyez vous dis-je!
Son agitation comme son inquietude etait perceptible dans sa voix mais cela ne finit que par renfocer la determination de Quarta. Tertia de son cote, avait commence a couper des petits branchages pour faire un tas sous le filet pour amortir la chute et tous bientot se joignirent a elle alors que Quarta se demenanit pour defaire le noeud de trappeur avec des doigts de plus en plus engourdi.